samedi 26 février 2011

Bilan Salon du livre de Longueuil

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Pour les curieux, voici un court bilan du Salon du livre de Longueuil:


  • 7000 visiteurs en baisse par rapport aux 9000 de l'année dernière
  • 127 livres vendus pour 1150$ comparer à 50 livres l'année dernière
  • coût du kiosque: 750$
  • Meilleur vendeur: Entités 1 avec 60 ventes suivi de Zoé et la sorcière avec 17
  • Meilleur vendeur Album: Petite-Étoile avec 8
  • On a remis plusieurs catalogues à des professeurs et des bibliothécaires; c'est l'intérêt d'un tel salon.
  • Je ne sais pas si ça c'est concrétisé, mais plusieurs professeurs se sont montrés vraiment intéressés par la proposition de Roxane Turcotte de faire des animations dans les classes.

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vendredi 25 février 2011

Relevés d'impôt pour versement de redevances

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Tout éditeur qui verse plus de 50$ en droits d'auteur à un auteur ou illustrateur doit obligatoirement lui faire parvenir un Relevé 3 (Guide) et un T5 (Guide) avant la fin du mois de février. Un sommaire de tous les feuillets envoyés aux auteurs doit être produit par l'éditeur et envoyé aux ministères du revenu (aussi avant la fin de févirer). Si un éditeur produit plus de 50 feuillets dans une année il doit transmettre le sommaire en format XML par Internet (je n'ai pas encore eu à le faire; j'envoie un sommaire papier).

Si l'une de mes illustratrices ne m'avaient pas demandé ces feuillets, je ne l'aurais pas fait puisque j'ignorais cette exigence.

Cette année, j'ai reçu un Relevé 1 d'un des éditeurs où j'ai publié. Il est important que ce soit un Relevé 3, puisque les revenus de redevances (qui doivent être déclarés dans un Relevé 3) sont exempts d'impôts au provincial (jusqu'à concurrence de 15,000$... je crois).
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jeudi 24 février 2011

Commission du droit du prêt public

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C'est la période de l'année où les auteurs reçoivent leur paiement de la Commission du droit du prêt public et où ils doivent inscrire leurs nouveaux titres. J'avais écrit un billet sur le sujet l'année dernière: ici 

Ça vaut la peine d'inscrire vos titres. Les revenus ne sont pas extraordinaires, mais c'est récurrent pendant quelques années et, dans mon cas, avec des titres qui ne se vendent pas très bien, les revenus sont supérieurs aux paiements des droits d'auteurs que je reçois. J'ai affiché le rapport de la CDPP dans mon billet de l'année dernière pour donner une idée.
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mardi 8 février 2011

Salon du livre Jeunesse de Longueuil

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Le Salon est ouvert de 9h à 15h du mercredi au vendredi, et de 10h à 17h les samedi et dimanche. L'entrée est gratuite. Il y aura des animations et des spectacles gratuits pour les enfants la fin de semaine. Même Géronimo Stilton y sera. Pour consulter la programmation: http://fetedulivre.csmv.qc.ca/htm/salonLivreJeunesse.htm

Au kiosque des Éditions Trampoline, Mathieu Fortin et Olivier Carpentier y serots jeudi, vendredi et samedi, presque toute la journée, Roxane Turcotte fera quelques présences le mercredi, le samedi et le dimanche (entre d'autres séances aux Éditions de La Paix). Elle aura aussi une animation intitulée Une image vaut mille mots (j'en ai déjà parlé ici).

10,000 visiteurs sont attendus.

jeudi 3 février 2011


Ci-dessous, tel que trouvé sur le blogue de la librairie Monet. Une partie du billet d'Élise Tanguay, libraire jeunesse. Ce n'est que l'opinion d'une personne, mais c'est le fun. Il y aussi l'opinion de Jonathan Reynolds ici: 

http://aveugle.wordpress.com/2011/01/21/lecture-no-3/


Tel que promis, voici la deuxième partie du galaŒuvres de chefs ou chefs-d’œuvre jeunesse, la deuxième sélection de livres jeunesse se méritant, à mon humble avis, un Beatrix ! Bon, vous aurez remarqué que je viens de décider que les trophées remis dans le cadre de mon gala porteraient le nom bien significatif de Beatrix, un peu à l’image des Félix, statuettes vedettes du gala de l’industrie québécoise de la musique… En l’honneur de la mère de la littérature jeunesse, Beatrix Potter, je vous présente donc la suite de mon éventail d’œuvres « chouchoutes ».

Le Beatrix À LA MANIÈRE D’UN CONTE CLASSIQUE

Ces auteurs ont su recréer, le temps d’un roman, l’ambiance des contes et des fables des Andersen, Perrault et La Fontaine qui ont bercé notre enfance. On y rencontre des loups somme toute assez sympathiques, des dragons à l’âme romantique et des chattes aux pouvoirs diaboliques ! Évidemment, quelques morales au goût sucré de poésie s’en dégagent ; mais nul besoin ici de prendre gare à ses doigts : il n’y a aucun risque qu’on leur assène des coups de règle…

En nomination :

Marie-Aude Murail pour Patte-Blanche (L’école des loisirs, coll. « Mouche »)
Tony DiTerlizzi pour Kenny & le dragon (Pocket Jeunesse)
Élisabeth Vonarbourg pour Les contes de la Chatte Rouge (Trampoline)

Et la gagnante est… Élisabeth Vonarbourg pour Les Contes de la Chatte Rouge !
Les contes de la Chatte Rouge est un récit qui se déroule au temps des rois d’on ne sait quels royaumes et à une époque tout ce qu’il y a de plus énigmatique… On y plonge dans l’univers imaginaire de Lila, une petite rouquine qui se lancera à la poursuite de l’ignoble Chatte Rouge qui, il y a des années de cela, avait dérobé toutes les histoires et chansons du pays. À travers ses aventures, qui ne sont pas sans rappeler les élucubrations de la petite Alice au pays de Lewis Carroll, Lila découvrira mille et uns secrets sur elle-même et sur son passé au rythme mélodique des mots d’Élisabeth Vonarbourg.